Agence Province
N’oubliez pas Perce-Neige !

Agence Province
Quel regard sur le handicap ?
Le 6 décembre 1965, sur l’ORTF, Lino Ventura prenait la parole dans un moment de télévision resté dans toutes les mémoires. Un appel bouleversant, sincère et sans détour, dans lequel il dénonçait l’abandon des enfants handicapés, la solitude des familles et le silence de la société.
60 ans plus tard, la Fondation Perce-Neige rend hommage à cet appel fondateur à travers une nouvelle campagne de communication nationale. Une campagne à la fois mémoire et manifeste, tournée vers l’avenir, articulée autour d’une phrase emblématique de Lino Ventura : « On m’oubliera, on oubliera mes films, mais Perce-Neige nous survivra longtemps. »
Pour cette prise de parole, la Fondation a fait le choix d’une esthétique sobre et puissante : un portrait en noir et blanc de Lino Ventura, signé Serge Lido accompagné de son verbatim fort, symbole de sincérité et de continuité.
Cette approche traduit la volonté de revenir à l’essentiel : à la force des mots, à la vérité d’un engagement, et à la pérennité d’un combat humain.
Conçue avec l’agence Province, cette campagne s’inscrit dans une démarche de communication porteuse de sens, en cohérence avec la nouvelle identité visuelle de la Fondation, signée Dragon Rouge, qui modernise l’expression de la mission et des valeurs de la Fondation.
Pour toucher le plus grand nombre, la campagne se déploiera sur plusieurs supports : un film de 12 minutes produit par TEN Cinema, conçu comme une rétrospective sensible et inspirante, une campagne presse dans les titres nationaux et grand public (Le Parisien,
L’Express, Les Échos, Le Point, Femme Actuelle…), une campagne digitale sur les réseaux sociaux, pour renforcer l’engagement et inviter à l’action, enfin une campagne d’affichage nationale (formats 8 m² et 12 m²) déployée sur 3 000 panneaux avec le soutien de Cityz Media.
Cette campagne n’est pas seulement un hommage à Lino Ventura. C’est une prise de parole engagée, ancrée dans le présent, qui rappelle qu’en 2025, les défis de l’i